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Le diagnostic du cancer

Lorsque le cancer est identifié en phase de conflit (ce qui est très rare, car à ce stade les signes visibles d'un cancer sont pratiquement sans symptômes. Le seul cas est celui du dépistage effectué par hasard pendant cette phase), c'est-à-dire que la personne vit un stress intense, est obsédée par des soucis, a perdu le sommeil et l'appétit.

A ce stade, si un scanner cérébral est effectué, il y a présence d'un foyer de Hamer (nom donné à une marque en forme de cible sur l'imagerie cérébrale) dans une région en relation avec le type de conflit et un organe déterminé du corps.

La plupart du temps, le cancer sera diagnostiqué lorsque des perturbations biologiques (douleurs, saignements, gonflements, élimination, grosseur,…) sont constatées.

A ce stade, soit le conflit est toujours dans sa phase active (sympathicotonie) et l'altération (nécrose, prolifération…) cellulaire peut progresser jusqu'à la mort si la personne ne solutionne pas son conflit, soit le conflit est solutionné.

Dès que le conflit est solutionné (conflictolyse), que la personne s'en soit rendue compte ou pas, le foyer de Hamer au cerveau s'oedématise, les mains redeviennent chaudes, et l'organisme commence le processus de réparation (selon le type de feuillet embryonnaire dont dépend l'organe -voir :  la loi des symptômes des deux phases de la maladie du Dr Ryke Geerd Hamer). 

 

 

C'est, paradoxalement, dans cette phase (vagotonie) de réparation des tissus, de nettoyage, d'élimination, de remplissage, d'enkystement des cellules qu'il ne peut éliminer, que le corps ressent une lourde fatigue et que les symptômes, considérés par la médecine comme un processus de la maladie cancéreuse en évolution, apparaissent.

Si ces symptômes sont considérés comme un processus d'aggravation ou de prolifération du cancer, il y a création d'un nouveau conflit qui, soit peut retarder le processus de guérison, soit créer un nouveau cancer selon la manière dont le patient va vivre cette situation.

Généralement, les complications de cette phase ne se présentent que si le conflit a été très important et a duré longtemps ou si plusieurs conflits sont vécus simultanément (certains peuvent être solutionnées ou non).

Comment gérer le verdict du diagnostic

Après le verdict, il est important de bien gérer toutes les réactions émotionnelles dont voici les principales étapes :

1. La négation, le refus
2. La désolation, le chagrin
3. La colère, le ressentiment
4. La négociation, le marchandage
5. La dépression, le désespoir
6. L'acceptation
7. L'espoir

Il est indispensable, aussi bien pour le malade que pour ses proches, de ne pas refouler leurs émotions. Généralement le chagrin et la colère sont les étapes qui sont généralement manquantes. Trop souvent le malade n'est pas écouté par ses proches, surtout lorsqu'il doute qu'il va guérir. Il lui est souvent proposé de ne pas s'inquiéter alors qu'il souhaiterait parler de son découragement ou de son désespoir. L'espoir ne peut véritablement apparaître qu'après avoir vécu toutes les étapes, peu importe si elles ne sont pas rencontrées dans l'ordre.