Le cœur
Il comprend plusieurs tissus et doit être étudié d'après son origine embryologique.
La partie droite est en rapport avec la circulation pulmonaire (d'où certaines complications à ce niveau) et les veines coronaires et est sous la dépendance de l'HG féminin.
La partie gauche du coeur est en relation avec la grande circulation (d'où des complications plus importantes et mortelles) et les artères coronaires et est sous la dépendance de l'HD masculin.
Les veines coronaires
Elles concernent la partie droite du coeur et sont en rapport avec la circulation pulmonaire et toutes les complications rencontrées à ce niveau là.
Elles sont sous la dépendance de l'HG féminin chez l'homme gaucher et la femme gauchère ménopausée et en relation avec un conflit où l'on doit se battre pour son territoire (perte du territoire ou du contenu du territoire).
Chez l'homme droitier efféminé et la femme droitière non ménopausée, il s'agira d'un conflit de frustration sexuelle.
Lors d'une constellation schizophrénique l'ulcération des veines coronaires apparaîtra lorsque le conflit de territoire touche un homme droitier non efféminé, une femme droitière ménopausée ou qui prend la pilule et une femme gauchère non ménopausée.
Lors de la solution du conflit apparaît, deux à six semaines plus tard, une défaillance cardiaque aiguë et un infarctus du myocarde droit, embolie pulmonaire, tachycardie, tremblements, dyspnée, sentiment d'anéantissement.
En même temps, mais seulement chez la femme droitière ménopausée ou qui prend la pilule et chez la femme gauchère non ménopausée en constellation schizophrénique, un cancer ulcératif du col ou de l'orifice de l'utérus. Après la guérison, cela n'empêche nullement la femme d'être enceinte.
Les artères coronaires
Elles concernent la partie gauche du coeur et sont en rapport avec la grande circulation et toutes les complications gravissimes rencontrées à ce niveau là.
Elles sont sous la dépendance de l'HD masculin chez l'homme droitier et la femme droitière ménopausée et en relation avec un conflit où l'on doit se battre pour son territoire (perte du territoire ou du contenu du territoire), par exemple, se battre pour empêcher son conjoint de partir.
Chez l'homme gaucher efféminé et la femme gauchère, il s'agira d'un conflit de frustration sexuelle accompagné presque toujours d'une dépression.
Lors d'une constellation schizophrénique, l'ulcération des artères coronaires apparaîtra lorsque le conflit de territoire touche un homme gaucher non efféminé, une femme droitière non ménopausée et une femme gauchère ménopausée ou qui prend la pilule.
Lors de la solution du conflit apparaît, deux à six semaines plus tard, des douleurs cardiaques, sentiment d'oppression, d'angoisse mortelle, d'arythmie avec altération typique de l'électrocardiogramme et risque important d'infarctus du cœur gauche dont la gravité est en relation avec l'intensité et la durée du conflit.
Si le conflit a duré plus de huit mois avant d'être résolu, l'infarctus est mortel.
En même temps, mais seulement chez l'homme gaucher et chez le droitier efféminé en constellation schizophrénique, un cancer ulcératif de la vésicule séminale.
La perception habituelle de l'obstruction des artères par le cholestérol est erronée. Celui-ci est chargé, au contraire, de la réparation des ulcérations vasculaires provoquées par la lutte sur le territoire.
Le péricarde
Il s'agit d'une membrane mésodermique (en relation avec le cervelet) qui entoure le coeur. Le conflit qui y est associé est un danger, une attaque pour le coeur. Il est une des causes de ce qu'on appelle l'insuffisance cardiaque.
Par exemple, un conflit qui transperce le cœur, un diagnostic qui mentionne une atteinte au cœur. Il s'agit d'un cercle vicieux car lorsque le malaise est considéré comme une inefficacité du cœur, il réactive l'attaque contre cet organe.
Les parois et les valves du cœur
Il s'agit de tissus mésodermiques en relation avec la moelle du cerveau.
Le conflit qui y est associé est une dévalorisation de soi concernant l'efficacité de son cœur.
Dans la phase active, il y a nécrose et dans la phase de solution, il y a apparition de callosité des parois du coeur et altération des valves.
Les vaisseaux
Ils sont au nombre de trois : les veines, les artères et les lymphatiques.
Ils sont tous contrôlés par le mésoderme (moelle du cerveau) et s'ulcèrent en phase de conflit (avec une éventuelle dilatation) et sont colmatés en phase de solution.
Le conflit à l'origine est identique: conflit de dévalorisation et l'endroit est déterminé en fonction de la coloration du conflit.
Pour les artères, il s'agit d'un "manque de punch", pour les veines, celui de "traîner son boulet".
En phase de solution, les artères développent une artériosclérose et les veines une thrombophlébite (si récidive deviennent variqueuses).
En ce qui concerne les lymphatiques, le conflit de dévalorisation est plus léger.
Les ganglions
En dehors d'un conflit les concernant, ils peuvent être gonflés par leur fonction de drainage lors d'un processus inflammatoire.
Par exemple, au cou lors d'une angine, ou à l'aine lors d'un abcès d'un membre inférieur.
Le gonflement des ganglions causé par une prolifération cellulaire, la mononucléose, le lymphome, le lymphosarcome, la maladie de Hodgkin signale un conflit de dévalorisation avec nuance d'insécurité et n'apparaît qu'en phase de solution.
Les ganglions soi-disant métastasés à proximité d'un cancer ne sont en réalité que le complément d'un conflit à l'origine du cancer initial auquel était présent un conflit de dévalorisation-insécurité.
Par exemple, un conflit avec un enfant ayant provoqué l'apparition d'un cancer du sein peut, parallèlement, provoquer un conflit de dévalorisation. Parfois, ce sera le diagnostic de cancer du sein qui provoquera plus tard une telle dévalorisation: "Mon partenaire m'aimera t-il encore avec cette poitrine déformée par le cancer (le traitement ou l'opération)?".
Il convient d'éviter d'enlever les ganglions -sauf en cas de gêne mécanique (dans ce cas, n'enlever que les ganglions gênants)- car cela amène une circulation lymphatique appauvrie et crée ce que l'on appelle "le gros bras". En retour ce symptôme peut occasionner un nouveau conflit de dévalorisation.
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